Un des plus grands et plus beaux domaines privés de Bourgogne
Le château de Pommard, 20 hectares d'un seul tenant, l'un des plus grands et plus beaux domaines privés de Bourgogne a été vendu à un entrepreneur américain de la Silicon Valley, Michael Baum. Acquis en 2003 par Maurice Giraud, fondateur de la société savoyarde de résidences de loisirs haut de gamme MGM Constructeur, n’a cessé de rénover et de revaloriser ce domaine. Avec la rénovation des deux châteaux, datant de 1726 et 1805, il ouvre en 2004 un centre d'art accueillant des expositions de peintures de photos et d'artisanat. Sous son impulsion le domaine est devenu en quelques années un haut lieu de l’oenotourisme en Bourgogne, Il accueille chaque année 35.000 visiteurs.
Michael Baum, le nouveau propriétaire, séduit par la splendeur de cet endroit, souhaite développer l’activité de réceptions de séminaires ainsi que la continuié artistique entreprise par Maurice Giraud , précise Cécile Lepers-Jobard, directrice générale. Il souhaite s'inscrire dans un développement supplémentaire avec les mêmes valeurs et les mêmes personnes. Pommard, l'accueillant village est bien reconnaissable à la tour carrée du clocher de son église.
Michael Baum, le nouveau propriétaire, séduit par la splendeur de cet endroit, souhaite développer l’activité de réceptions de séminaires ainsi que la continuié artistique entreprise par Maurice Giraud , précise Cécile Lepers-Jobard, directrice générale. Il souhaite s'inscrire dans un développement supplémentaire avec les mêmes valeurs et les mêmes personnes. Pommard, l'accueillant village est bien reconnaissable à la tour carrée du clocher de son église.
Un Château, construit en 1726 par Vivant Micault, Ecuyer du Roi Louis XV, pour produire de Grands Vins à Pommard.
Le Château Vivant Micault. Le Style Régence au coeur de Pommard. Un bâtiment parfaitement équilibré, issu d'une riche histoire.
Construit en 1726 par Vivant Micault, Secrétaire du Roi Louis XV, dans un style Régence, le Château Vivant Micault a succédé à un château féodal malmené par l'Histoire.. Du château féodal de Pommard, dont les origines remontent au haut Moyen-Age, il ne reste rien ! Après bien des revers de fortune, il a été entièrement détruit. Mais avant cette sombre période, la légende raconte qu'Henry IV, de passage sur les terres bourguignonnes, serait venu déguster les vins de Pommard au Château. Dès sa construction, le Château Vivant Micault a renoué avec la splendeur et accueilli, à son tour, des hôtes de marque. Bonaparte aurait ainsi honoré le château de sa visite !
Depuis le XVIIIème siècle, la patine du temps a donné au château son charme intemporel. La belle façade en pierres de Chassagne du Château Micault borde la Cour d'Honneur aux pavés irréguliers. Des nombreuses fenêtres qui ponctuent les deux étages de cette demeure, on peut écouter, aux beaux jours, le son cristallin de l'eau de la fontaine au centre de la cour d'honneur et suivre le parcours du soleil sur l'ancien cadran solaire.
Séduit par cette incroyable demeure entourée d'un océan de vignes, l'ancien propriétaire du Château de Pommard, a fait entièrement restaurer le lieu de 2004 à 2007. 40 compagnons du Tour de France se sont attelés à cette tâche en respectant les règles de l'art...
Construit en 1726 par Vivant Micault, Secrétaire du Roi Louis XV, dans un style Régence, le Château Vivant Micault a succédé à un château féodal malmené par l'Histoire.. Du château féodal de Pommard, dont les origines remontent au haut Moyen-Age, il ne reste rien ! Après bien des revers de fortune, il a été entièrement détruit. Mais avant cette sombre période, la légende raconte qu'Henry IV, de passage sur les terres bourguignonnes, serait venu déguster les vins de Pommard au Château. Dès sa construction, le Château Vivant Micault a renoué avec la splendeur et accueilli, à son tour, des hôtes de marque. Bonaparte aurait ainsi honoré le château de sa visite !
Depuis le XVIIIème siècle, la patine du temps a donné au château son charme intemporel. La belle façade en pierres de Chassagne du Château Micault borde la Cour d'Honneur aux pavés irréguliers. Des nombreuses fenêtres qui ponctuent les deux étages de cette demeure, on peut écouter, aux beaux jours, le son cristallin de l'eau de la fontaine au centre de la cour d'honneur et suivre le parcours du soleil sur l'ancien cadran solaire.
Séduit par cette incroyable demeure entourée d'un océan de vignes, l'ancien propriétaire du Château de Pommard, a fait entièrement restaurer le lieu de 2004 à 2007. 40 compagnons du Tour de France se sont attelés à cette tâche en respectant les règles de l'art...
Le Terroir
Niché au coeur de Pommard, une appelletion qui, de par sa notoriété, désignait jusqu'au XIXè siècle l'ensemble des vins de la côte de Beaune. Le château de Pommard regroupe en son clos 20 hectares de vignes d'un seul tenant. Implanté au milieu des 325 hectares de cette appellation aux terroirs très variés, le château de Pommard fait figure d'exception dans son village. Alors que l'ensemble de la culture viticole en Bourgogne est connue pour son morcellement, le château de Pommard apparaît comme le plus grand monople privé de Bourgogne. La diversité de son terroir comprend une palette très variée, de 5 parcelles, ce qui contribue à l'élaboration de très grand vin riches et complexes. à savoir:
Chantrerie, se distingue par la qualité de ses argiles. Exceptionnel en côte de Beaune et comparable aux terroirs de Grands Crus de la côte de Nuits. Son vin à toutes les caractéristiques d'un grand cru. Puissant et grande finesse avec une trame tanique imposante mais veloutée et savoureuse. Un vin riche et profond, qui apporte à l'assemblage final ses lettrers de noblesse.
Grand champ, la charpente des grands vins du château. Des vins très puissants avec des l'élaboration d'un vin tanins marqués. Son sol calcaire, peu profond est très drainant, permet une maturité très précosse du raisin.
Les Paules, sont la chair des grands vins. Son soI peu profond est constitué de gros cailloux , naturellement drainant et propice à une maturité très précosse des raisins. Sa riche teneur en argile et son faible taux de calcaire favorise l'élaboration
Chantrerie, se distingue par la qualité de ses argiles. Exceptionnel en côte de Beaune et comparable aux terroirs de Grands Crus de la côte de Nuits. Son vin à toutes les caractéristiques d'un grand cru. Puissant et grande finesse avec une trame tanique imposante mais veloutée et savoureuse. Un vin riche et profond, qui apporte à l'assemblage final ses lettrers de noblesse.
Grand champ, la charpente des grands vins du château. Des vins très puissants avec des l'élaboration d'un vin tanins marqués. Son sol calcaire, peu profond est très drainant, permet une maturité très précosse du raisin.
Les Paules, sont la chair des grands vins. Son soI peu profond est constitué de gros cailloux , naturellement drainant et propice à une maturité très précosse des raisins. Sa riche teneur en argile et son faible taux de calcaire favorise l'élaboration
Grand Vin du Château de Pommard
Traditionnellement, le Grand Vin est issu d'un assemblage des cinq principaux terroirs constituant le clos. Une partie de Grand Champ formera le squelette, Nadine et les Paules lui donneront sa chair, Chantrerie et Simone lui apporteront une âme.
Chaque parcelle est récoltée manuellement en petites caisses de 10 Kg. Après un passage systématique sur notre table de tri, seules les grappes parfaitement mûres et parfaitement saines sont gardées pour l'élaboration d'une cuvée. Chaque cuvée porte le nom de sa parcelle d'origine. Elle est vinifiée et élevée en fût de chêne individuellement pendant une période de 18 à 22 mois. C'est seulement à l'issu de cet élevage et juste avant la mise en bouteille que les cuvées seront harmonieusement et judicieusement assemblées pour donner naissance au Grand Vin. La partie de chaque cuvée qui ne sera pas utilisée entrera dans la composition du second vin.
Boutique du château en ligne
Château de Pommard
15, rue Marey Monge
21630 POMMARD
Tél + 33 3 80 22 12 59 Fax + 33 3 80 24 65 88
Voir la géolocalisation
Chaque parcelle est récoltée manuellement en petites caisses de 10 Kg. Après un passage systématique sur notre table de tri, seules les grappes parfaitement mûres et parfaitement saines sont gardées pour l'élaboration d'une cuvée. Chaque cuvée porte le nom de sa parcelle d'origine. Elle est vinifiée et élevée en fût de chêne individuellement pendant une période de 18 à 22 mois. C'est seulement à l'issu de cet élevage et juste avant la mise en bouteille que les cuvées seront harmonieusement et judicieusement assemblées pour donner naissance au Grand Vin. La partie de chaque cuvée qui ne sera pas utilisée entrera dans la composition du second vin.
Boutique du château en ligne
Château de Pommard
15, rue Marey Monge
21630 POMMARD
Tél + 33 3 80 22 12 59 Fax + 33 3 80 24 65 88
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Caractéristiques du millésime 2011 - Le producteur vous informe
Le millésime
Le début d'année est marqué par un printemps particulièrement chaud et sec. Le soleil et la chaleur d'avril provoquent un débourrement très précoce de la vigne et les températures estivales de mai accentuent le développement végétatif, à tel point que la floraison sera totalement achevée au 20 mai, soit presque un mois en avance par rapport à la normale. Les températures de juin sont caniculaires et l'on s'attend alors à vendanger vers le 20 août, prédisant un millésime calqué sur 2003.
Toutefois, à partir de juillet la météo change complètement. Si les pluies de la première semaine sont accueillies avec enthousiasme, les records de précipitations qui vont s'accumuler pendant l'été provoquent un revirement de situation qui plonge les vignerons dans le doute. L'état sanitaire jusqu'alors idéal se dégrade, laissant apparaitre fin aout quelques foyers de pourriture, les températures faibles ralentissent la maturation et l'angoisse monte dans le vignoble.
Finalement, le temps se remet au beau. Les vendanges débutent au 03 septembre et vont se dérouler pendant deux semaines sous une météo des plus clémentes. Comme en 2010, la récolte est plutôt faible mais les raisins plutôt concentrés. Après un passage sur la table de tri, la vendange s'avère d'excellente qualité et l'épisode estival ne devient plus qu'un mauvais souvenir.
Les jus sont purs et très fruités. La couleur s'extrait facilement et les tanins sont particulièrement veloutés. Au final, nous obtenons des vins puissants, élégants, et faisant preuve d'un très bel équilibre.
La dégustation
La robe est pourpre, profonde avec des reflets rubis. Le nez est riche, plutôt floral avec des notes de pivoine, sureau et roses rouges. On y retrouve aussi des fruits noirs et des épices. L'attaque en bouche est fraiche et charnue. Le vin se montre ample et les tanins veloutés. La finale s'étire longuement sur une farandole de petits fruits rouges, épaulées par des fragrances boisées (graphite, pain d'épice). L'équilibre est remarquable. Ce vin puissant et solidement charpenté ne tombe jamais dans la lourdeur. Sa grande sapidité et la finale légèrement saline lui procure même un coté aérien. Son coté accessible et charmeur nous pousserait à le boire rapidement...mais ce serait passer à coté d'un grand moment que de ne pas attendre sa pleine maturité qui devrait arriver d'ici 8 à 10 ans.
Les conseils d'Emmanuel Sala
Servir à une température de 16 à 18 degrés après 2 heures d'ouverture ou un passage en carafe. Il accompagnera avec brio un jeune pigeonneau en cocotte, une pintade fermière ou un gibier en sauce. Il sera parfait également avec les fromages affinés (Epoisses, ami du Chambertin, Vacherin). L'accord surprenant ? Calamars farcis, sauce à l'encre et piments d'Espelette.
Le début d'année est marqué par un printemps particulièrement chaud et sec. Le soleil et la chaleur d'avril provoquent un débourrement très précoce de la vigne et les températures estivales de mai accentuent le développement végétatif, à tel point que la floraison sera totalement achevée au 20 mai, soit presque un mois en avance par rapport à la normale. Les températures de juin sont caniculaires et l'on s'attend alors à vendanger vers le 20 août, prédisant un millésime calqué sur 2003.
Toutefois, à partir de juillet la météo change complètement. Si les pluies de la première semaine sont accueillies avec enthousiasme, les records de précipitations qui vont s'accumuler pendant l'été provoquent un revirement de situation qui plonge les vignerons dans le doute. L'état sanitaire jusqu'alors idéal se dégrade, laissant apparaitre fin aout quelques foyers de pourriture, les températures faibles ralentissent la maturation et l'angoisse monte dans le vignoble.
Finalement, le temps se remet au beau. Les vendanges débutent au 03 septembre et vont se dérouler pendant deux semaines sous une météo des plus clémentes. Comme en 2010, la récolte est plutôt faible mais les raisins plutôt concentrés. Après un passage sur la table de tri, la vendange s'avère d'excellente qualité et l'épisode estival ne devient plus qu'un mauvais souvenir.
Les jus sont purs et très fruités. La couleur s'extrait facilement et les tanins sont particulièrement veloutés. Au final, nous obtenons des vins puissants, élégants, et faisant preuve d'un très bel équilibre.
La dégustation
La robe est pourpre, profonde avec des reflets rubis. Le nez est riche, plutôt floral avec des notes de pivoine, sureau et roses rouges. On y retrouve aussi des fruits noirs et des épices. L'attaque en bouche est fraiche et charnue. Le vin se montre ample et les tanins veloutés. La finale s'étire longuement sur une farandole de petits fruits rouges, épaulées par des fragrances boisées (graphite, pain d'épice). L'équilibre est remarquable. Ce vin puissant et solidement charpenté ne tombe jamais dans la lourdeur. Sa grande sapidité et la finale légèrement saline lui procure même un coté aérien. Son coté accessible et charmeur nous pousserait à le boire rapidement...mais ce serait passer à coté d'un grand moment que de ne pas attendre sa pleine maturité qui devrait arriver d'ici 8 à 10 ans.
Les conseils d'Emmanuel Sala
Servir à une température de 16 à 18 degrés après 2 heures d'ouverture ou un passage en carafe. Il accompagnera avec brio un jeune pigeonneau en cocotte, une pintade fermière ou un gibier en sauce. Il sera parfait également avec les fromages affinés (Epoisses, ami du Chambertin, Vacherin). L'accord surprenant ? Calamars farcis, sauce à l'encre et piments d'Espelette.
Caractéristiques du millésime 2012 - Le producteur vous informe
Le millésime
Le millésime commence dans la douleur avec le gel, une pluviométrie excédentaire durant quatre mois consécutifs, (d'avril à juillet) et bien sûr l'orage de grêle en Juin. La grêle n'était plus tombée dans le clos depuis plus de 10 ans. toute la côte de Beaune a beaucoup souffert, les maladies, l'oïdium et le mildiou, se sont largement installées et il fallait les combattre sans répit. Dans le clos du Château c'est le mildiou qui a particulièrement sévit. Pour finir, le millésime sera sauvé par un mois et demi de temps sec et chaud, conduisant au début des vendanges le 17 septembre.
La pluie durant la floraison et bien sur l'orage de grêle sont à l'origine de très petits rendements, 20 hl/ha. La faible quantité combinée à une dernière partie de millésime particulièrement clémente font de 2012 un millésime exceptionnel qui a produit des vins concentrés, texturés et charnus
La dégustation
La robe rubis aux reflets pourpre est brillante et limpide. Le nez à l'ouverture exalte des arômes de fleurs rouges comme la pivoine, le coquelicot ou la rose fanée. Après aération, ces une farandole de fruits noirs, tels que la mûre ou la myrtille, ainsi que des senteurs balsamiques qui prennent le relais. La bouche est fraîche et charnue. Elle est tendue par une trame tannique serrée mais savoureuse qui conduit à une finale sapide et légèrement salée aux notes épicées.
Les conseils d'Emmanuel Sala
On pourra commencer à l'apprécier dès 2017 sur une viande rouge ou un poisson charnu. Idéalement on attendra que le vin est atteint sa pleine maturité, 8 à 9 après le millésime. Les amateurs de vieux vins pourront, quant à eux, le garder en cave 20 ans et plus
Le millésime commence dans la douleur avec le gel, une pluviométrie excédentaire durant quatre mois consécutifs, (d'avril à juillet) et bien sûr l'orage de grêle en Juin. La grêle n'était plus tombée dans le clos depuis plus de 10 ans. toute la côte de Beaune a beaucoup souffert, les maladies, l'oïdium et le mildiou, se sont largement installées et il fallait les combattre sans répit. Dans le clos du Château c'est le mildiou qui a particulièrement sévit. Pour finir, le millésime sera sauvé par un mois et demi de temps sec et chaud, conduisant au début des vendanges le 17 septembre.
La pluie durant la floraison et bien sur l'orage de grêle sont à l'origine de très petits rendements, 20 hl/ha. La faible quantité combinée à une dernière partie de millésime particulièrement clémente font de 2012 un millésime exceptionnel qui a produit des vins concentrés, texturés et charnus
La dégustation
La robe rubis aux reflets pourpre est brillante et limpide. Le nez à l'ouverture exalte des arômes de fleurs rouges comme la pivoine, le coquelicot ou la rose fanée. Après aération, ces une farandole de fruits noirs, tels que la mûre ou la myrtille, ainsi que des senteurs balsamiques qui prennent le relais. La bouche est fraîche et charnue. Elle est tendue par une trame tannique serrée mais savoureuse qui conduit à une finale sapide et légèrement salée aux notes épicées.
Les conseils d'Emmanuel Sala
On pourra commencer à l'apprécier dès 2017 sur une viande rouge ou un poisson charnu. Idéalement on attendra que le vin est atteint sa pleine maturité, 8 à 9 après le millésime. Les amateurs de vieux vins pourront, quant à eux, le garder en cave 20 ans et plus
Caractéristiques du millésime 2013 - Le producteur vous informe
Le millésime
Parmi les millésimes qui marqueront le plus les vignerons, 2013 nous rappellera longtemps que face à la nature, l'homme n'est pas grand chose, mais aussi que tant que la partie n'est pas jouée, il faut garder espoir.
Marqué par un printemps froid et pluvieux, le débourrement de la vigne est très tardif. En juin, les fortes pluies retardent la floraison et provoquent une importante coulure, alors que le risque épidémique du mildiou n'a jamais été aussi élevé.
Par comble de malheur, les villages de Volnay, Pommard, Beaune et Savigny, comme en 2012, sont ravagés par un terrible orage de grêle. La récolte, qui s'annonçait déjà faible, est détruite à plus de 50%.
Finalement, les éléments se calment. Les mois de juillet et d'août sont chauds et ensoleillés, septembre, une fois n'est pas coutume, est plus que généreux et permet de récolter une vendange saine et parfaitement mûre. Commencées le 23 septembre, les vendanges finissent le 2 octobre, juste avant les violents orages du 5 et du 6...le millésime est sauvé!
La dégustation
La robe, très brillante, est d'un rubis profond, aux nuances pourpres et reflets violacés. A l'ouverture, se dégage un nez très floral de bouquet de roses fraîches et de subtiles notes de roses séchées. Se déroule ensuite une partition de fragrances boisées, d'épices douces, de petits fruits noirs et de cannelle. Parfaitement en accord avec cette grande complexité aromatique, la bouche se dévoile toute en finesse, associée à un côté masculin marqué par des tanins serrés, mais superbement veloutés. Un vin qui parait léger dans un premier temps, puis qui délivre progressivement toute sa puissance et beaucoup de classe. La finale, longue et précise, fait preuve d'une grande sapidité et de beaucoup de fraîcheur, signature bien connue des grands vins du Château de Pommard.
Les conseils d'Emmanuel Sala
Sa rondeur nous permet de le boire dès maintenant sur une viande saignante ou un foie gras poêlé. Il n'en reste pas moins un vin de grande garde qui attendra sans faiblir plus d'une vingtaine d'années.
Parmi les millésimes qui marqueront le plus les vignerons, 2013 nous rappellera longtemps que face à la nature, l'homme n'est pas grand chose, mais aussi que tant que la partie n'est pas jouée, il faut garder espoir.
Marqué par un printemps froid et pluvieux, le débourrement de la vigne est très tardif. En juin, les fortes pluies retardent la floraison et provoquent une importante coulure, alors que le risque épidémique du mildiou n'a jamais été aussi élevé.
Par comble de malheur, les villages de Volnay, Pommard, Beaune et Savigny, comme en 2012, sont ravagés par un terrible orage de grêle. La récolte, qui s'annonçait déjà faible, est détruite à plus de 50%.
Finalement, les éléments se calment. Les mois de juillet et d'août sont chauds et ensoleillés, septembre, une fois n'est pas coutume, est plus que généreux et permet de récolter une vendange saine et parfaitement mûre. Commencées le 23 septembre, les vendanges finissent le 2 octobre, juste avant les violents orages du 5 et du 6...le millésime est sauvé!
La dégustation
La robe, très brillante, est d'un rubis profond, aux nuances pourpres et reflets violacés. A l'ouverture, se dégage un nez très floral de bouquet de roses fraîches et de subtiles notes de roses séchées. Se déroule ensuite une partition de fragrances boisées, d'épices douces, de petits fruits noirs et de cannelle. Parfaitement en accord avec cette grande complexité aromatique, la bouche se dévoile toute en finesse, associée à un côté masculin marqué par des tanins serrés, mais superbement veloutés. Un vin qui parait léger dans un premier temps, puis qui délivre progressivement toute sa puissance et beaucoup de classe. La finale, longue et précise, fait preuve d'une grande sapidité et de beaucoup de fraîcheur, signature bien connue des grands vins du Château de Pommard.
Les conseils d'Emmanuel Sala
Sa rondeur nous permet de le boire dès maintenant sur une viande saignante ou un foie gras poêlé. Il n'en reste pas moins un vin de grande garde qui attendra sans faiblir plus d'une vingtaine d'années.
L'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.