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Depuis mes débuts comme chroniqueur je me suis toujours interdit d'écrire en désapprobation, car ce n'est pas déontologique de désavouer et de critiquer quelq'un dans sa proffession. Mais si le chroniqueur a ses obligations morales qui régissent la proffession, il a aussi ses droits d'annaliste et de dire les choses comme il les ressent. Et voilà, il y a des fois ou l'envie resenti devient vraiement trop pressante et que l'on a besoin de mettre les pendules à l'heure. Autrement dit, qu'il est temps d'attirer l'attention de l'amateur de vin sur cette vaste comédie des primeurs avec des centaines de journalistes venus du monde entier. Des journalistes, dont très peu sont familiers avec les vins de Bordeaux, parcourent les vignobles et châteaux pour déguster sur quelques jours des centaines de vins, dont les substances sont toujours au stade d'élaboration. A ce stade de la vie du vin, on a vu attribuer lors de ces dernières années des cotations de 100/100 par des plus grands experts. Donc la perfection. Alors là quand même, on se pose la question quant à la viabilité de ces cotations, sachant que ce vin doit encore subir tout les soins au cours de son élevage à la propriété et ce pendant deux ans. Connaissant aussi la fragilité du vin en cours d'élevage avec tous les risques de maladies et autres, lequel ne sera considéré comme produit finit que trois mois après la mise en bouteilles. Donc j'en tire la conclusion, que ces cotations ne présentent aucune garantie quant à la qualité du millésime pour le consommateur, mais plutôt une cotation passionnnante attendue par les proriétaires, les permettant dès la publication de lancer les prix de primeurs. Ce qui represente rien d'autre, qu'une spéculation financière de vente plus vite et de rentrer dans les fonds au plutôt. D'autre part, l'mpact direct de la publication de ces notes sur le prix de sortie, avec lesquelles les pourparlers vont commencer entre propriétaires, courtiers et négociants en vue d'une vente rapide avec une marge bénéficiare plus ou moins importante. Acheter en primeur était dans le passé une opération payante pour le consommateur, en sorte aussi une spéculation avec l'idée d'une plus value en travers les années, permettant la revente avec une marge positive devenant ainsi une sorte d'investissement latent. De nos jours les achats en primeurs sont délicats et risqués par la terrible surévaluation des vins dit: "Grands Crus", lesquelles n'ont plus aucune logique, met toute spécutaion honrs course. D'autre part, depuis une dizaine d'années on trouve de plus en plus souvent les vins sur le marché à des prix plus bas que les prix primeurs. Un autre avantage et pas le moindre, c'est de pouvoir les déguster et de ne pas devoir s'engager à l'aveugle sur des cotations sans garantie. La sélecton de ses vins, elle se fait exclusivement sur base de ses sensations lors des différentes dégustations. Selon ses impressions très simples, c’est bon ou c’est mauvais, ça plait ou ça déplait, il n‘y a pas de l‘entre deux.
Le vin, sous tous ses normes et formes, ce fait dans la vigne à partir de la taille et jusqu’a la mise en bouteille. C’est la base fondamentale et incontournable de la longue et difficile élaboration d’un grand vin. Que l’on soit classé grand cru ou simple appellation d’origine, c’est pour toutes les catégories la même base. Ce sont les mêmes cépages, les mêmes pieds de vignes qui font le vin. Il n’y a pas de petits ou de grands au départ, ils sont tous égaux avec le terroir, des cépages, un cuvier, un chai.
La seule différence c'est le savoir faire de l'actuel équipe, dans l’élaboration de son vin, ce qui fait justement la renommée du château.
Le problème récurrent sur Bordeaux: la surévaluation hors normes des soit disant: "Grands Crus", aujourd'hui devenus de véritables produits de grand luxe et le marché français qui s’en détourne.
Depuis mes débuts comme chroniqueur je me suis toujours interdit d'écrire en désapprobation, car ce n'est pas déontologique de désavouer et de critiquer quelq'un dans sa proffession. Mais si le chroniqueur a ses obligations morales qui régissent la proffession, il a aussi ses droits d'annaliste et de dire les choses comme il les ressent. Et voilà, il y a des fois ou l'envie resenti devient vraiement trop pressante et que l'on a besoin de mettre les pendules à l'heure. Autrement dit, qu'il est temps d'attirer l'attention de l'amateur de vin sur cette vaste comédie des primeurs avec des centaines de journalistes venus du monde entier. Des journalistes, dont très peu sont familiers avec les vins de Bordeaux, parcourent les vignobles et châteaux pour déguster sur quelques jours des centaines de vins, dont les substances sont toujours au stade d'élaboration. A ce stade de la vie du vin, on a vu attribuer lors de ces dernières années des cotations de 100/100 par des plus grands experts. Donc la perfection. Alors là quand même, on se pose la question quant à la viabilité de ces cotations, sachant que ce vin doit encore subir tout les soins au cours de son élevage à la propriété et ce pendant deux ans. Connaissant aussi la fragilité du vin en cours d'élevage avec tous les risques de maladies et autres, lequel ne sera considéré comme produit finit que trois mois après la mise en bouteilles. Donc j'en tire la conclusion, que ces cotations ne présentent aucune garantie quant à la qualité du millésime pour le consommateur, mais plutôt une cotation passionnnante attendue par les proriétaires, les permettant dès la publication de lancer les prix de primeurs. Ce qui represente rien d'autre, qu'une spéculation financière de vente plus vite et de rentrer dans les fonds au plutôt. D'autre part, l'mpact direct de la publication de ces notes sur le prix de sortie, avec lesquelles les pourparlers vont commencer entre propriétaires, courtiers et négociants en vue d'une vente rapide avec une marge bénéficiare plus ou moins importante. Acheter en primeur était dans le passé une opération payante pour le consommateur, en sorte aussi une spéculation avec l'idée d'une plus value en travers les années, permettant la revente avec une marge positive devenant ainsi une sorte d'investissement latent. De nos jours les achats en primeurs sont délicats et risqués par la terrible surévaluation des vins dit: "Grands Crus", lesquelles n'ont plus aucune logique, met toute spécutaion honrs course. D'autre part, depuis une dizaine d'années on trouve de plus en plus souvent les vins sur le marché à des prix plus bas que les prix primeurs. Un autre avantage et pas le moindre, c'est de pouvoir les déguster et de ne pas devoir s'engager à l'aveugle sur des cotations sans garantie. La sélecton de ses vins, elle se fait exclusivement sur base de ses sensations lors des différentes dégustations. Selon ses impressions très simples, c’est bon ou c’est mauvais, ça plait ou ça déplait, il n‘y a pas de l‘entre deux.
Le vin, sous tous ses normes et formes, ce fait dans la vigne à partir de la taille et jusqu’a la mise en bouteille. C’est la base fondamentale et incontournable de la longue et difficile élaboration d’un grand vin. Que l’on soit classé grand cru ou simple appellation d’origine, c’est pour toutes les catégories la même base. Ce sont les mêmes cépages, les mêmes pieds de vignes qui font le vin. Il n’y a pas de petits ou de grands au départ, ils sont tous égaux avec le terroir, des cépages, un cuvier, un chai.
La seule différence c'est le savoir faire de l'actuel équipe, dans l’élaboration de son vin, ce qui fait justement la renommée du château.
Le problème récurrent sur Bordeaux: la surévaluation hors normes des soit disant: "Grands Crus", aujourd'hui devenus de véritables produits de grand luxe et le marché français qui s’en détourne.